Sculpture 


questions fantômes 

 A l'entrée de l'antenne du musée national du Congo, peinte sur la façade extérieure et pyrogravée sur le premier socle en face de la porte. Socle accueillant 8 statues, fétiches qui semblent s'avancer vers les spectateurs, un ensemble des « questions fantômes » , ces questions sont celles qu'à Kinshasa les gens se posent face à ce genre de projet, sans trop oser en parler : Mami Wata, qui peut le décrire ? Mundele Ngulu, combien ça coûte ? Qui l'a vu ? Kata kata …. ces questions qui semblent être provocatrices ont en fait rencontré un assentiment quasi générale, même jusqu’auprès des conservateurs du musée, car les gens se reconnaissent dans ces questions. Projet réalisé dans le cadre du partenariat ESAD (Strasbourg) et l’Académie des Beaux-Arts (Kinshasa) durant les festivités du cinquantenaire de l’indépendance du Congo (RDC).  2010 installation 

Aliénation

 Ma performance est le résultat de l’observation d’un groupe des gens dit aliénés et de la société en générale. Je pense que l’aliénation frôle ces propre limites. L’être se retrouve dépourvu de tout repères culturels et même de sa propre identité. Alors s’installe le vide et un manque qui se fait sentir. Ce vide est en fait une vrai culture en soi, car les gens ont appris à faire avec, il se sont appropriés de ce manque afin de bâtir une nouvelle culture qui est basé et motivé par l’envie obsessionnelle de s’épanouir vers divers horizons. Biennale YANGO – Kinshasa 2014. 

Année 3020

 Ce projet est une réalisation de costume à partir de pièces de récupération d'appareils   électroniques et mécaniques ou autres objets ayant un lien avec la technologie.  Ce n'est   qu'un pur fruit de mon imagination car, dans mon imaginaire, j'aime me projeter   un peu dans un futur lointain pour essayer d’analyser le monde actuel et parler de mes   craintes. J'essaie d'imaginer l’évolution et les techniques de survie de l’homme dans les   siècles a venir, et surtout d’explorer toutes les formes que pourraient prendre les   nouvelles sociétés du futur. Toujours dans mon imaginaire, j’essaie de voir plus loin,   avec toutes les avancées technologiques, en particulier dans le domaine militaire, avec la   dernière génération d’armes que les nations et leurs puissances militaires ont développé.   Mes sentiments sont assez négatifs  sur ces technologies et sur l’impact qu’auront ces   armes sur les générations futures. Alors je pense aux dégâts qu’ils pourront causer à la   planète et c'est pourquoi j'ai imaginé une nouvelle civilisation qui naitra des cendres   d’une société qui s’est autodétruite grâce à leur ingéniosité négative. J'ai pensé   directement à l’image qu’ils refléteront grâce à leur accoutrement qui, pour moi, ne sera   constitué rien qu’avec des débits de machines et d'appareils qui ont servi à la   destruction de la civilisation passée parce qu’ils n’auront comme héritage rien que les   déchets d’après l’anéantissement.  Projet : pour séance photo avec la collaboration de la photographe Marie Bousseau

système

 Projet de performance réalisé à l’occasion d’un atelier sur les arts IN SITU avec un artiste camerounais GODY LEYE. Ce projet s’intitule le SYSTEME. Par là nous faisons allusion au système politique de notre pays la RDC. C'est une comparaison entre notre système politique (RDC) et une voiture neuve. Au final, nous arrivons à la conclusion que la RDC, à la place d’être une voiture neuve, n’est qu’une carcasse, une épave de voiture sans roue, une carcasse rouillée à cause de la corruption, le manque de patriotisme, la soif de pouvoir, d’argent et aussi par les ingrédients qui alimentent tous les systèmes d’états mafieux. Avec cette performance, nous avons imaginé et essayé de montrer le devoir qu’a le système congolais envers les bénéficiaires (peuple). Le système n’est qu’une carcasse et cette carcasse, le peuple en a toujours besoin. Son seul souhait est qu’elle soit en très bon état mais, puisqu’il traîne à se rétablir, la société anticipe : ce n'est plus la voiture qui nous transporte, puisqu’elle est devenue carcasse, mais nous qui allons la tirer, la faire bouger et avancer malgré tout. L’action de la performance s’est déroulée sur les rails (ancienne voie ferroviaire de la ville) en tant que projet in situ à l’aide de cordes attachées à nos corps. Nous avons adapté des roues sur la carcasse pour qu’elle roule bien sur les rails et le projet s'est bien déroulé. Performance réaliser avec le collectif NOIX-YO   

Immigration

 Cet un projet collectif que je participer, qui a été réaliser a l’aide d’une collaboration   Avec deux étudiants suédois(Christian Daniel Etwitz, Soren Hernholt) qui s’occuper de la technique, et dans ce projet on a voulue   Conscientiser nos frère congolais du danger qu’il court en empruntant ces genres de   Démarche, qui pourra être très périlleuse pour eux, et en même temps interpellée les   Autorité et agents de frontière, par leur méthode de traité des citoyens d’autres états,   Comme s’ils n’avaient pas des droits, tant qu’être humain par son désir de jouir   Pleinement du monde et a l’esprit d’aventure a travers l’appétit interminable de   Découverte que l’humain a en lui, ce pourquoi on a mis en scène cette performance pour   Exprimé et partagé notre vision des choses. 

victime

 par cette performance on voulait dénoncer comment le système politique Congolaise, paralyse toute la société, car aussi paradoxale que sa soit, comme on le dit sur le continent(Afrique) la pauvreté de nos pays rend le pays occidentaux riche et au Congo c'est le même schéma, car la richesse de l’élite politique congolaise est basé sur l'appauvrissement de son propre peuples. 

avec la participation de l'artiste Pierre Kigoma

Transmedial

 Installation performance en réseau entre Kinshasa et Berlin avec le collectif MOWOSO – Festival TRANSMEDIAL ( Berlin, Allemagne) - avec la participation de l'artiste PIERRE KIGOMA

Poubelle, le handicap

 Poubelle, le handicape - une installation performative  -  réalisé au REFUGE, un des lieux secrets de l’académie des beaux-arts de Kinshasa où se retrouvent les étudiants en difficulté. Le travail tente d’exprimer un problème urbain, celui de l’insalubrité et de toutes les pollutions de la ville de Kinshasa, un grand handicap pour la population - avec la participation de l'artiste PIERRE KIGOMA

Labichampi

 performance en réseau du collectif fluctuant ESP entre Karosta (K@2/EXYST), Kinshasa(ABA/MOWOSO) et Strasbourg (ESAD) – Festival LABI-CHAMPI (Karosta,Lettonie) 

funéraille

 C´est un projet qui datent de 2005,que j´essayée de faire un lien de l´être(humain)en vie   et sans vie et tout en essayant de jouer avec les éléments,qui confirme la fin d´une vie, et   avec quelque piste, du début de l´autre vie qui prend naissance, a la fin d´une autre, sans   pour autant oublier les regards  des ceux dont la vie illumine encore en eux. Et dans mon observation  ce sont ces regards qui m´on plus attirer et ce plus sur le plan   cérémoniale qui m´a beaucoup intéressée ,pour voir combien ces gens s´investisse dans   les obsèques,et surtout précisément chez moi en RDC et a KINSHASA(la capitale) en   particulier , les obsèques est synonyme de fêtes ou voir même cet tout un carnaval et  cet   une autre forme d´ambiance qui fait vibrée  Kinshasa ,car derrière tous cet ambiance ce   ,l’alcool ,la sape ,la prostitution, drogue etc.…sont au rendez-vous. Et avec ce même projet que je pu participer a la SCENO-URBAIN 2006  a   Kinshasa,pour essayée enfin de le réaliser, hélas ,l’expérience a aboutit ,a d’autres   résultat ,série de colère et de soulèvement de la part des étudiants de l’ABA ,et ce   n’étaient plus une performance comme voulu, mais plutôt un happening,et De-lors   j’expérimente cette interactivité spontanée qu’on les gens face a de telle sujet, car   l’interactivité qu’on eu les étudiants lors de la sceno l’objet déclencheur c’étaient juste   ce que moi je nome des éléments confirment la fin, qui ont vraiment choquer les gens   comme ex :le cercueil qui  a susciter toutes cette tension et mes recherche a se sujet sont   toujours encourt ,toujours entrain d’échafauder  dans la réalité des choses pour   comprendre et pouvoir mieux l’étalé  a la lumière.